Premier tiers avec peu d'occasions pour les deux équipes

Comme tout(e) pilote automobile, elle r&ecirc;ve forc&eacute;ment de Formule 1. Mais "on peut faire de belles carri&egrave;res en endurance", glisse la jeune Fribourgeoise de 23 ans.
Sa participation aux mythiques 24 Heures de Daytona a &eacute;veill&eacute; l'int&eacute;r&ecirc;t des m&eacute;dias suisses. La jeune femme semblait ainsi d&eacute;j&agrave; bien rompue &agrave; l'exercice de l'interview lorsqu'elle a accueilli Keystone-ATS dans la maison familiale de Pont-la-Ville il y a quelques semaines.
De toute mani&egrave;re, elle n'a pas sa langue dans sa poche, et son sourire ne la quitte gu&egrave;re. "Je n'arrive pas &agrave; rester s&eacute;rieuse pour les photos", s'excuse-t-elle d'ailleurs &agrave; l'heure de poser pour le photographe. Lequel va d&eacute;couvrir tr&egrave;s vite l'autre facette de la jeune femme, qui aura 24 ans le 1er juin.
"J'ai vraiment deux personnalit&eacute;s diff&eacute;rentes. Il y a la Karen dans le priv&eacute;, et il y a la pilote", soulignera-t-elle plus tard. "C'est dr&ocirc;le parce qu'un m&eacute;canicien m'a fait remarquer qu'&agrave; chaque fois que je mettais mon casque, mon regard changeait. On dirait que je suis pr&ecirc;te &agrave; tuer quelqu'un", sourit-elle.
"Je ne suis pas du tout pareille dans la vie de tous les jours qu'en comp&eacute;tition. Je suis une battante, et je le suis bien s&ucirc;r aussi dans la vie de tous les jours. Mais dans la vie de tous les jours, je suis quelqu'un de tr&egrave;s gentil. Alors que sur un circuit il n'y a pas d'amis", pr&eacute;cise-t-elle.
<h2>Du hip-hop au karting</h2>
Comp&eacute;titrice-n&eacute;e, Karen Gaillard est pourtant venue sur le tard au pilotage. "J'avais 17 ans lors de ma premi&egrave;re v&eacute;ritable ann&eacute;e de comp&eacute;tition en karting. A cet &acirc;ge-l&agrave;, il faudrait d&eacute;j&agrave; avoir un pied en Formule 1", fait-elle remarquer, bien consciente que ses chances d'&eacute;voluer dans la cat&eacute;gorie reine du sport automobile sont tr&egrave;s minces.
"Cela faisait alors d&eacute;j&agrave; quelques ann&eacute;es que j'avais envie de commencer le karting, sport que J'ai d&eacute;couvert quand j'avais 10 ans en regardant mon papa disputer une course. Mais ce n'&eacute;tait pas possible de commencer tout de suite", regrette la Fribourgeoise, qui a longtemps pratiqu&eacute; le... hip-hop avant de se lancer dans le karting.
"J'essaie d'apprendre tr&egrave;s vite, afin de faire la plus belle carri&egrave;re possible", l&acirc;che-t-elle, se rem&eacute;morant un moment-cl&eacute;: "En allant assister &agrave; une course de karting de mon papa, j'ai remarqu&eacute; deux jeunes filles qui faisaient partie d'une &eacute;quipe et qui devaient avoir 14 ans. C'est l&agrave; que je me suis rendu compte que c'&eacute;tait un sport ouvert &agrave; tous", explique-t-elle.
<h2>Iron Dames, une "opportunit&eacute; unique"</h2>
Un sport qu'elle peut d&eacute;sormais pratiquer sereinement au sein du projet 100% f&eacute;minin Iron Dames, o&ugrave; elle b&eacute;n&eacute;ficie d'une structure tr&egrave;s professionnelle en compagnie de 18 autres pilotes et de 12 cavali&egrave;res d'&eacute;quitation. "C'est une &eacute;norme opportunit&eacute; pour moi de faire partie de cette &eacute;quipe", conc&egrave;de-t-elle.
"Je suis tr&egrave;s reconnaissante envers Deborah (Mayer) qui a fond&eacute; ce projet vraiment hyper cool. C'est s&ucirc;r que, sans elle, de nombreuses choses que je fais actuellement ne seraient pas possibles", glisse Karen Gaillard, qui participera ainsi d&egrave;s ce week-end &agrave; la Porsche Carrera Cup France dont la premi&egrave;re des six manches se d&eacute;roulera sur le circuit de Barcelone.
Sans vouloir br&ucirc;ler les &eacute;tapes, la Fribourgeoise esp&egrave;re cependant pouvoir passer assez rapidement &agrave; l'&eacute;tage sup&eacute;rieur. Les 24 Heures de Daytona l'ont marqu&eacute;e. "C'est vraiment sp&eacute;cial. Je l'ai compris le premier jour: le premier pilote que j'ai vu c'&eacute;tait Kevin Magnussen, qui &eacute;tait encore sur la grille en Formule 1 l'an dernier", rappelle-t-elle.
"L&agrave; je me suis dit +wouah+. J'ai alors tourn&eacute; la t&ecirc;te, j'ai vu beaucoup d'autres anciens pilotes de F1 comme Romain Grosjean ou Felipe Massa. J'ai alors eu l'impression d'&ecirc;tre dans la cour des grands", sourit Karen Gaillard, pour qui la Formule 1 n'est toutefois pas un but en soi.
<h2>Le Mans, un objectif plus qu'un r&ecirc;ve</h2>
"Pour tous les pilotes, la F1 c'est quand m&ecirc;me le r&ecirc;ve. Mais il n'y a de place que pour les 20 meilleurs du monde. C'est une cat&eacute;gorie de plus en plus difficile &agrave; atteindre, car il ne suffit pas d'avoir du talent. Quand j'ai commenc&eacute; &agrave; concourir en karting, je savais qu'il ne fallait pas avoir la F1 comme objectif", souligne-t-elle.
"Aujourd'hui, je vise un peu plus l'endurance. On peut faire de belles carri&egrave;res en endurance. D'ailleurs, la plupart des pilotes qui arr&ecirc;tent la Formule 1 passent &agrave; l'endurance, o&ugrave; le niveau est de plus en plus &eacute;lev&eacute;", explique-t-elle.
Et qui dit endurance, dit 24 Heures du Mans. "C'est plus un objectif qu'un r&ecirc;ve, parce cela me tient vraiment &agrave; coeur de le r&eacute;aliser", souffle Karen Gaillard. "J'esp&egrave;re pouvoir y participer le plus rapidement possible. Mais pour le moment, on va continuer &agrave; se pr&eacute;parer en sprint."

Karen Gaillard rêve des 24 Heures du Mans

Laura Droz a rejoint le Standard de Li&egrave;ge l'&eacute;t&eacute; dernier, en tant que gardienne pour ce club belge de premi&egrave;re division. La Giblousienne de 24 ans a sign&eacute; pour deux ans avec son nouveau club, apr&egrave;s avoir jou&eacute; en France et en Allemagne notamment.
Elle a par exemple &eacute;volu&eacute; en deuxi&egrave;me division allemande avec le Turbine Potsdam, o&ugrave; elle s'est bless&eacute;e au genou. Mais ce n'est pas tout : elle est aussi pass&eacute;e par Yverdon-Sport, le FC B&acirc;le, l'AS Nancy ou encore Servette-Ch&ecirc;nois.
Et pour l'instant, elle se pla&icirc;t &agrave; Li&egrave;ge. "J'&eacute;tais revenue de cette longue blessure que j'avais eue en Allemagne. Pendant six mois, je n'avais pas touch&eacute; de ballon, pas mis les pieds sur le terrain. Et l&agrave;, j'ai du temps de jeu, &ccedil;a se passe bien, mais &eacute;videmment, quand on commence &agrave; jouer, on a toujours des attentes. Forc&eacute;ment, j'en veux plus."
Avant de signer pour deux ans, la jeune femme s'est tout de m&ecirc;me renseign&eacute;e sur le niveau de jeu de son pays d'accueil. Et c'est sans doute ce qui l'a motiv&eacute;e &agrave; se lancer dans l'aventure:
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Prochain objectif du Standard de Li&egrave;ge: d&eacute;crocher la Coupe belge lors de la finale face &agrave; Anderlecht pr&eacute;vue le 21 avril.

Une gardienne fribourgeoise se plaît en Belgique

Elle s&rsquo;est impos&eacute;e 7-5 devant la Chine qui &eacute;tait invaincue en trois matches. Un coup de deux au septi&egrave;me end a permis au CC Gen&egrave;ve de mener 6-2 et de prendre une option d&eacute;finitive sur la victoire.
Ce mardi, Yannick Schwaller et ses co&eacute;quipiers affronteront la Su&egrave;de, une autre &eacute;quipe qui n&rsquo;a conc&eacute;d&eacute; qu&rsquo;une seule d&eacute;faite depuis le d&eacute;but de ce round robin. Avec les Suisses, les Su&eacute;dois et les Chinois, les Norv&eacute;giens, les Ecossais et le Canada pr&eacute;sentent &eacute;galement ce m&ecirc;me bilan.

Championnat du monde: la Suisse gagne encore

Pablo Lachat-Couchepin, Sven Michel, Schwaller et Benoît Schwarz-Van Berkel ont rapidement été menés 7-2 après un coup de quatre de leurs adversaires au quatrième end. Les Suisses ont ensuite réduit la marque à 7-5, mais les Américains ont immédiatement repris cinq points d'avance. Les curleurs du CC Genève ont abandonné à l'issue du huitième end.
 Lundi soir, les Suisses ont bien réagi en dominant les Japonais. Le match a été serré jusqu'au septième end (4-4), avant que Yannick Schwaller et ses coéquipiers ne fassent la décision grâce à un coup de trois qui a brisé la résistance des Nippons, qui ont jeté l'éponge au milieu du dixième end.

Mondial: un revers et un succès suisse

Killian Mottet a donn&eacute; la victoire &agrave; Gott&eacute;ron samedi lors de l'acte 1 de sa demi-finale qui l'oppose &agrave; Lausanne. Une d&eacute;viation &agrave; la 35e permet aux Dragons de s'imposer 3 &agrave; 2.
Surnum&eacute;raire, puis 13e attaquant une bonne partie de la saison, le num&eacute;ro 71 profite entre autres de la blessure de De La Rose pour griffer la glace. "Quand tu es dans une p&eacute;riode difficile, il y a deux solutions: soit tu abandonnes, soit tu la boucles et tu travailles encore plus fort. Pour moi, c'est la deuxi&egrave;me option qui prime", explique le joueur fribourgeois. "J'ai pris &eacute;norm&eacute;ment sur moi, j'ai travaill&eacute; encore plus sur la glace, en salle de force."
Avec la premi&egrave;re &eacute;quipe depuis la saison 2013-2014, Killian Mottet fait partie des meubles &agrave; la BCF Arena. En 12 ans sous le maillot fribourgeois, il a c&ocirc;toy&eacute; une multitude de joueurs, pas surpris de le voir si r&eacute;silient, comme Nathan Marchon. "Lui, il a vraiment une attitude exemplaire. Pas tout le monde aurait r&eacute;agi comme lui. De le voir &agrave; nouveau retrouver l'alignement et performer, &ccedil;a fait vraiment plaisir."
Killian Mottet et la 4e ligne auront l'occasion de confirmer leur bonne disposition ce mardi &agrave; 20h &agrave; la BCF Arena pour l'acte 2 de cette demi-finale face au LHC.
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Gottéron: la résilience du numéro 71

Touch&eacute; par un joueur adverse, Monteiro (25 ans) avait d&ucirc; &ecirc;tre remplac&eacute; durant la mi-temps. Il souffre d'un ligament d&eacute;chir&eacute; au pied gauche. Le club a pr&eacute;cis&eacute; que la blessure allait &ecirc;tre trait&eacute;e de mani&egrave;re conservative, sans op&eacute;ration.
La dur&eacute;e exacte d'indisponibilit&eacute; de l'international suisse ne peut pas encore &ecirc;tre d&eacute;termin&eacute;e de mani&egrave;re exacte.

YB privé de Monteiro

"Notre rêve devient réalité. Je suis très heureux pour l'équipe, fier et enthousiaste", a déclaré le propriétaire de Tudor Fabian Cancellara dans un communiqué publié lundi. "En juillet, nous irons en France pour courir et pas seulement pour participer!"
 Tudor participera donc pour la première fois au Tour de France après avoir fait ses débuts sur le circuit continental (ProTeams) en 2023. L'an dernier, la formation helvétique avait déjà bénéficié de plusieurs invitations, comme sur le Tour d'Italie, pour disputer des courses sur le World Tour.
 <h2>Pas de Q36.5</h2>
 La participation au Tour de France étant réservée aux équipes de l'élite et aux deux meilleures formations du ProTour, Tudor espérait recevoir une invitation. Avec l'arrivée de Marc Hirschi et, surtout, du Français Julian Alaphilippe à l'intersaison, l'équipe aux maillots noirs avait de sérieux atouts, mais rivalisait avec les Français de TotalEnergies, les Norvégiens de Uno-X ou encore une autre équipe helvétique: Q36.5 et sa recrue star Tom Pidcock.
 L'UCI ayant validé le passage de 22 à 23 équipes sur les Grands Tours lundi, cela a ouvert la porte à une troisième wild-card sur le Tour de France. Tudor, TotalEnergies et Uno-X en ont donc obtenu une, mais pas Q36.5.
 <h2>"L'influence d'Alaphilippe"</h2>
 "Tudor, c'est l'influence Julian Alaphilippe oui, mais pas seulement, c'est aussi Michael Storer, qui a gagné sur le dernier Paris-Nice, ou Marc Hirschi, un puncheur d'exception, Matteo Trentin, vrai capitaine de route...", a souligné Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, cité sur le site internet de L'Equipe, pour justifier le choix de Tudor.
 "C'est un vrai défi personnel de revenir sur le Tour, mais encore plus d'y être avec ma nouvelle équipe. C'est vraiment un moment historique pour Tudor", a déclaré Alaphilippe dans le communiqué de l'équipe helvétique.
 La 112e édition du Tour de France partira le 5 juillet de Lille et arrivera le 27 juillet à Paris.

Tour de France: une équipe suisse invitée

Le destin est parfois coquin. A l'issue d'une finale des extrêmes entre deux joueurs de 18 ans d'écart d'âge, c'est le jeune loup Mensik, en quête d'un premier succès, qui a dominé la légende Djokovic (37 ans), son idole, qui visait lui son 100e titre.
 Après un début de partie retardé de près de six heures à cause de la pluie, Mensik (ATP 54) a surfé sur la confiance d'un tournoi formidable, lors duquel il aura gagné les sept tie-breaks qu'il a eu à disputer.
 Impérial au service (14 aces) et solide dans les moments chauds, Mensik a su, malgré son inexpérience, maîtriser un match serré et au niveau de jeu très élevé face au grand maître serbe aux 24 titres en Grand Chelem.
 <h2>"Grâce à toi"</h2>
 "Si je suis là c'est grâce à toi. J'ai commencé le tennis grâce à toi. J'ai pu m'entraîner avec toi. Il n'y a pas de meilleur chose que te jouer en finale d'un tournoi. Merci pour tout ce que tu as fait pour notre sport, tu es une personne incroyable", a déclaré Mensik lors d'une cérémonie des trophées en forme de passation de pouvoir.
 "Ca me fait mal de l'admettre, mais tu as été meilleur dans les moments importants, notamment au service dans les moments chauds, a souri Djokovic. Pour un jeune joueur comme toi c'est un grande qualité, je suis sûr que tu l'utiliseras souvent dans le futur."
 "C'est le premier d'une longue série", a promis Djokovic à son jeune adversaire, devenu le premier Tchèque victorieux en Masters 1000 depuis Tomas Berdych en 2005 à Paris.
 <h2>Le plaisir de Djokovic</h2>
 Grand espoir du tennis, Mensik n'était pas né lorsque Djokovic jouait ses premiers matchs en Grand Chelem en 2005. Vingt ans plus tard, le Serbe reste en quête d'un 100e titre, une barrière seulement franchie jusque là chez les hommes par Roger Federer (103) et Jimmy Connors (109).
 Djokovic, forfait en demi-finale de l'Open d'Australie en janvier et champion olympique l'été dernier à Paris, a prouvé qu'il pouvait toujours tutoyer les sommets, lors du tournoi floridien où il a "connu le plus de plaisir depuis des années".
 Avec un oeil droit gonflé sur lequel il a appliqué régulièrement des gouttes, Djokovic a rapidement perdu son service dans la première manche (2-0 Mensik).
 Mais le Serbe, qui a fait admirer sa qualité de retour malgré la propreté de l'engagement adverse, a débreaké à sa première occasion (3-4) avant d'emmener Mensik au tie-break. Le Tchèque a alors été royal, notamment au filet, pour rapidement mener 5-0 puis plier la manche à 7-4.
 <h2>"Un miracle"</h2>
 Djokovic, qui a ensuite sauvé deux balles de break à 2-2 dans la deuxième manche, a demandé l'appui de la foule après des points superbes, est tombé plusieurs fois à terre, avant de chuter pour de bon dans un nouveau tie-break où il s'est rendu coupable de plusieurs fautes.
 Mensik, qui a révélé avoir failli déclarer forfait, touché à un genou, avant "un miracle" de son kiné, sera 24e mondial lundi, de loin son meilleur classement, alors que Djokovic va rester à la 5e place, mais repartir confiant en quête d'un 100e tournoi.

Miami: Mensik surprend Djokovic en finale

Le Zougois Noe Roth s'est par&eacute; d'or en aerials dimanche apr&egrave;s-midi, son comp&egrave;re zurichois Pirmin Werner d&eacute;crochant quant &agrave; lui le bronze.
Noe Roth (24 ans) a ainsi d&eacute;fendu victorieusement le titre conquis en 2023 &agrave; Bakouriani. Avec la mani&egrave;re qui plus est: cr&eacute;dit&eacute; de 143,31 points pour son Double Full-Double Full-Full, il a devanc&eacute; de pr&egrave;s de 20 points son dauphin am&eacute;ricain Quinn Dehlinger.
"C'est le meilleur saut que j'ai r&eacute;ussi dans ma vie", s'est exclam&eacute; au micro de la FIS Noe Roth, tout sourire au c&ocirc;t&eacute; de son comp&egrave;re Pirmin Werner. "On se pousse les deux &agrave; l'entra&icirc;nement", a rappel&eacute; l'homme du jour, dont la figure pr&eacute;sentait un degr&eacute; de difficult&eacute; moindre par rapport &agrave; celle propos&eacute;e par Werner.
En bronze jeudi dans l'&eacute;preuve par &eacute;quipe en compagnie de Roth et de l'&eacute;tonnante Lina Kozomara, Pirmin Werner (25 ans) a quant &agrave; lui cueilli sa premi&egrave;re m&eacute;daille individuelle dans un grand rendez-vous. Il a tout tent&eacute; dans la "Super Finale", manquant de peu l'atterrissage sur son "Hurricane" (Full-Triple Full-Full).
Ces deux m&eacute;dailles permettent &agrave; la Suisse de conclure ces joutes engadinoises avec neuf m&eacute;dailles. L'&eacute;quipe d'aerials en a rapport&eacute; trois, tout comme celle de skicross (or pour Fanny Smith et Ryan Regez, ainsi que pour le duo Smith/Regez). Mathilde Gremaud (or en ski slopestyle), Sarah H&ouml;fflin (argent en ski Big Air) et Valerio Jud/Sina Siegenthaler (bronze en snowboardcross par &eacute;quipe) compl&egrave;tent ce bilan remarquable.

Mondiaux: Deux médailles de plus

Melville Ives a mis tout le monde d'accord dès son premier run sur le halfpipe du Corvatsch Park de Silvaplana. Avec son score de 96,00, il a devancé deux trentenaires américains: Nick Goepper (31 ans) et Alex Ferreira (30 ans). Seul Suisse en lice dans cette finale, Rafael Kreienbühl a terminé au 13e rang.
 Chez les femmes, le titre est revenu à la Britannique Zoe Atkin. La freestyleuse de 22 ans a devancé d'un cheveu la Chinoise Fanghui Li et la Canadienne Cassie Sharpe.

Du beau spectacle en halfpipe

Déjà assurée de remporter un quatrième globe de cristal après avoir pris la troisième place samedi en Suède, Smith a profité lors de cette ultime épreuve. Elle a remporté son quart de finale, sa demi-finale et la finale pour signer un 35e succès en Coupe du monde.
 "Je voulais terminer parfaitement malgré la fatigue. Cela a été une magnifique saison", a déclaré la toute fraîche championne du monde au micro de la FIS.
 Talina Gantenbein est elle montée pour la huitième fois sur le podium. La Grisonne de 26 ans est toujours à la recherche d'un premier succès en Coupe du monde.
 <h2>Howden remporte le globe</h2>
 Chez les hommes, la victoire est revenue au Canadien Reece Howden, qui a par la même occasion décroché son troisième globe de cristal après ceux remportés en 2021 et 2023. Le Bernois Ryan Regez, champion du monde à Saint-Moritz, a pris le 8e rang final après son élimination en demi-finale.

Un 35e succès pour Fanny Smith

Pablo Lachat-Couchepin, Sven Michel, le skip Yannick Schwaller et Benoît Schwarz-van Berkel ont parfaitement maîtrisé leur sujet face à la Norvège de Magnus Ramsfjell. Trois coups de deux réalisés aux deuxième, quatrième et sixième ends leur ont permis de mener 6-3. Leurs adversaires ont abandonné après la neuvième manche.
 Le quatuor helvétique vise une deuxième médaille mondiale après celle de bronze conquise en 2023. Il est en quête de rachat après avoir manqué son affaire tant au Mondial 2024 à Schaffhouse (7e place) qu'aux Européens en novembre dernier (4e rang).

Mondial: Bon départ des Suisses

L'attaquant b&acirc;lois, buteur sur penalty mardi avec l'&eacute;quipe de Suisse face au Luxembourg, a offert la victoire aux siens &agrave; la 73e minute. Il a r&eacute;sist&eacute; &agrave; plusieurs d&eacute;fenseurs dans la surface pour se mettre sur son pied droit et tromper le portier de l'OGC Nice Marcin Bulka.
Gr&acirc;ce au cinqui&egrave;me but de la saison d'Embolo en Ligue 1, l'AS Monaco d&eacute;loge ainsi Marseille, battu 3-1 &agrave; Reims, de la deuxi&egrave;me place du classement. Mais les joueurs du Rocher comptent 21 points de retard sur le PSG alors qu'il ne reste que... 21 points en jeu.
Les Parisiens auraient d&eacute;j&agrave; pu f&ecirc;ter un treizi&egrave;me titre de champion en cas de match nul entre Monaco et Nice. Ils auront l'occasion de conclure l'affaire devant leur public samedi face &agrave; Angers.

Un but décisif pour Embolo

Les hommes de Thomas Häberli, bien plus cliniques les Bianconeri au Cornaredo, ont cueilli ce précieux succès grâce à des réussites d'Enzo Crivelli (31e) et de Tiemoko Ouattara (83e). La reprise de volée du Français après un centre de Miroslav Stevanovic sur le 1-0 a mis un coup sur la tête des Tessinois, qui avaient largement dominé l'entame de match.
 Le SFC repousse ainsi son adversaire du soir à six longueurs et va aborder sa semaine anglaise avec le plein de confiance. Un nouveau succès mardi à Genève face à des Young Boys revenus dans la course permettrait aux Grenat de distancer un autre adversaire direct. S'il fait preuve de la même solidité face aux Bernois ainsi qu'à Saint-Gall dimanche prochain, le Servette FC pourrait bien affirmer un peu plus son statut de favori au titre de champion de Suisse.

Super League: les Grenat prennent le large

Le m&ecirc;me coup que contre Berne. Les joueurs de Lars Leuenberger ont commenc&eacute; leur affrontement face &agrave; Lausanne par un succ&egrave;s &agrave; l'ext&eacute;rieur. Et battre les Lions chez eux veut vraiment dire quelque chose, tant les Vaudois sont solides &agrave; domicile.
<blockquote class="frapp">
On commence bien la s&eacute;rie mais ce n'est qu'un match de gagn&eacute;
</blockquote>
Fribourg a appliqu&eacute; avec bonheur la m&ecirc;me m&eacute;thode qu'au tour pr&eacute;c&eacute;dent et cela a suffi face aux hommes de Geoff Ward. La r&eacute;action de Killian Mottet, auteur du but d&eacute;cisif :&nbsp;
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Fribourg a ouvert la marque sur son premier jeu de puissance. Sur une p&eacute;nalit&eacute; de Bayreuther digne d'un footballeur qui tacle, c'est Walser qui s'est charg&eacute; de punir les Vaudois &agrave; la 15e. Mais les Dragons ont eu un peu de chance sur cette s&eacute;quence puisque Rathgeb a bien failli se m&eacute;langer les crayons &agrave; la bleue pour offrir le puck aux Lausannois. Seulement Bertschy a pu brillamment gommer l'erreur de son co&eacute;quipier pour servir Vey qui a trouv&eacute; Walser.
<h2>La bourde de Berra</h2>
Les Lions n'ont pas dout&eacute; trop longtemps puisqu'&agrave; la 16e c'est Bozon qui a pu &eacute;galiser au sortir d'une superbe triangulation initi&eacute;e par Raffl qui a gagn&eacute; un duel en fond de patinoire, avant de transmettre le puck &agrave; Sklenicka pour le Fran&ccedil;ais &agrave; licence suisse.
Au cours du tiers m&eacute;dian, les Fribourgeois ont davantage tir&eacute; au but et ont finalement &eacute;t&eacute; r&eacute;compens&eacute;s par l'inusable Julien Sprunger qui a vu un puck lui revenir parfaitement positionn&eacute; pour un tir aussi puissant que parfait (32e). Gott&eacute;ron n'a toutefois profit&eacute; de son avantage que 23 secondes, le temps pour Berra de laisser passer un puck assez anodin de Prassl pour le 2-2.
Mais les lignes 3 et 4 de Fribourg ont abattu un joli boulot et &agrave; la 36e, c'est Mottet qui a pu d&eacute;vier un lancer de Sutter pour redonner une longueur d'avance aux joueurs de Lars Leuenberger. Et cette longueur d'avance, les Dragons l'ont conserv&eacute;e jusqu'au terme de cette rencontre.
La s&eacute;rie s'en va mardi &agrave; Fribourg. Les Lausannois esp&egrave;rent pouvoir trouver la solution contre ces Fribourgeois que rien ne semble pouvoir arr&ecirc;ter.
<h2>Zurich d&eacute;j&agrave; facile</h2>
Dans l'autre demi-finale, Zurich n'a pas fait dans la demi-mesure face &agrave; Davos. Les champions en titre se sont impos&eacute;s 6-1.
Si la victoire des joueurs de Marco Bayer ne surprend pas plus que &ccedil;a, c'est l'ampleur du score qui interpelle. Les Grisons avaient, on le rappelle, &eacute;limin&eacute; Zoug 4-0 en quart de finale. On pouvait donc s'attendre &agrave; une partie plus &eacute;quilibr&eacute;e.
Les Zurichois ont class&eacute; l'affaire en moins de trois minutes entre la 15e et la 17e, gr&acirc;ce notamment &agrave; deux power-plays. Les stars du "Z" comme Andrighetto, Kukan ou encore Grant ont su faire payer les Davosiens.
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Suivez cette s&eacute;rie entre le LHC et Gott&eacute;ron en direct sur Frapp et sur Radio Fribourg.&nbsp;

Gottéron : un match référence pour mener 1 à 0

La skieuse genevoise de 34 ans s'est parée d'argent en Big Air samedi à St-Moritz. Andri Ragettli doit quant à lui se contenter du 10e et dernier rang dans la finale masculine.
 Eliminée dès les qualifications du slopestyle en Engadine, Sarah Höfflin a effacé de superbe manière cet échec pour offrir à la Suisse un septième podium dans ces joutes engadinoises. La Genevoise, vainqueure de la qualification en Big Air, a mis la pression sur ses sept rivales dès son premier saut en finale.
 En tête grâce aux 90,50 points récoltés pour son Switch Right Double 1080 Mute, la championne olympique 2018 de slopestyle a obtenu 80,25 points sur son deuxième saut, un Left Double 1080 Safety, pour afficher alors 6,25 points de plus que sa plus proche poursuivante. Les 170,75 points cumulés ont suffi pour cueillir l'argent.
 Seule l'Italienne Flora Tabanelli, sous pression après un deuxième saut manqué, a fait mieux grâce aux 89,00 points obtenus en troisième manche (176,75 points au total). Dernière à s'élancer, Sarah Höfflin n'est pas parvenue à augmenter son total, manquant sa réception après un Left Double 1440 Japan pourtant bien maîtrisé.
 Höfflin, qui n'a jamais gagné de Big Air en Coupe du monde, a donc bien profité de l'absence des trois médaillées olympiques de Pékin 2022 Eileen Gu (convalescente), Tess Ledeux (blessée) et Mathilde Gremaud (éliminée en qualification). Elle affichait jusqu'ici trois 4es places comme meilleur résultat dans des Mondiaux.
 <h2>Ragettli manque le coche</h2>
 Andri Ragettli a en revanche manqué le coche dans la finale masculine. Revanchard après sa frustrante 4e place obtenue en slopestyle, le Grison de 26 ans a chuté à la réception de ses deux premiers sauts pour perdre tout espoir de podium. Le titre est revenu au Néo-Zélandais Luca Harrington avec 192,00 points.

Mondiaux: Höfflin en argent

Il aura fallu attendre longtemps. Tr&egrave;s longtemps. "154 jours" pr&eacute;cise Pascal Oppliger, l'entra&icirc;neur de Portalban/Gletterens. Soit le temps qui s&eacute;pare aujourd'hui &agrave; la derni&egrave;re victoire &agrave; domicile des P&ecirc;cheurs. La longue travers&eacute;e du d&eacute;sert appartient d&eacute;sormais au pass&eacute; puisque les Broyards ont maitris&eacute; les d&eacute;bats: une large victoire 4-0 face &agrave; Naters. Portalban/Gletterens est une &eacute;quipe en forme ! Actuels 5e du classement de Premi&egrave;re Ligue, s&eacute;par&eacute;s de trois petites unit&eacute;s face &agrave; leur adversaire du jour, les P&ecirc;cheurs sortaient d'un nul face au leader Ch&ecirc;nois et d'un "match plein" contre les Genevois de Meyrin samedi dernier (victoire 4-0). "On manquait d'une certaine r&eacute;gularit&eacute; depuis le d&eacute;but de ce second tour. L&agrave;, on est dans une bonne dynamique" analyse l'entra&icirc;neur fribourgeois.
<h2>Une entame de match r&eacute;ussie</h2>
Il n'aura pas fallu attendre. D&egrave;s la 26e minute, sur corner, le d&eacute;fenseur central Artur Ndebele, ancien joueur du FC Bulle profitait d'un mauvais d&eacute;gagement de la d&eacute;fense adverse pour inscrire le premier but en se muant en v&eacute;ritable renard des surfaces. "Face &agrave; la meilleure &eacute;quipe d&eacute;fensive du championnat, il fallait &eacute;viter de se prendre ce premier goal. Ce qu'on a r&eacute;ussi &agrave; faire", se r&eacute;jouit Pascal Oppliger. Au retour des vestiaires, Portalban/Gletterens a rapidement pris le large. &Agrave; la 52e minute, Baptiste Bersier a parfaitement ajust&eacute; un centre pour Leo Beleck, dont la t&ecirc;te crois&eacute;e n&rsquo;a laiss&eacute; aucune chance au gardien adverse. En pleine confiance, les Fribourgeois ont ensuite g&eacute;r&eacute; leur avantage, &eacute;touffant toute vell&eacute;it&eacute; de r&eacute;action de Naters.
La fin de match a confirm&eacute; la domination broyarde. &Agrave; la 83e minute, Leo Beleck a inscrit son doubl&eacute; en profitant d&rsquo;un ballon mal repouss&eacute; par le portier valaisan. Et pour sceller d&eacute;finitivement le sort de la rencontre, Miguel Almeida a ajout&eacute; un quatri&egrave;me but dans les arr&ecirc;ts de jeu (94e): une soir&eacute;e parfaitement ma&icirc;tris&eacute;e pour la formation fribourgeoise.
<h2> Et la suite ?</h2>
Apr&egrave;s 154 jours d&rsquo;attente, les P&ecirc;cheurs renouent enfin avec la victoire &agrave; domicile. Dimanche prochain, ils tenteront de confirmer leur bonne dynamique en d&eacute;placement sur le terrain de Lausanne-Sport M21.

Et après 154 jours, la victoire fut !

Ce match nul réduit toutefois grandement les dernières chances du FC Sion d'accrocher le top 6 et le Championship Group. Les Valaisans comptent désormais sept points de retard sur la sixième place occupée par Zurich, qui affronte Grasshopper dimanche, alors qu'il ne reste que quatre journées avant la décision.
 A Tourbillon, les hommes de Didier Tholot auraient pu s'écrouler au moment où Antonio Marchesano a placé le ballon sur le point de penalty. Les Vaudois menaient déjà 1-0 après une bourde de Timothy Fayulu que Marley Aké a transformée en but à la suite d'un joli une-deux avec Marchesano (8e). Mais l'ex-joueur du FCZ a envoyé son penalty au-dessus de la barre pour laisser Sion dans le match (31e).
 Cet échec a empêché Yverdon de cueillir une troisième victoire de rang pour la première fois de la saison, après ses succès acquis face à Winterthour (2-1) et Servette (3-2) avant la trêve internationale. Car les Sédunois ont répliqué au retour des vestiaires grâce à une réussite de Kreshnik Hajrizi sur corner (52e). Ils auraient même pu arracher les trois points si Paul Bernardoni n'avait pas détourné une belle frappe d'Ilyas Chouaref en fin de match (81e).
 <h2>Young Boys sur le podium provisoire</h2>
 A Berne, Young Boys a confirmé qu'il était à nouveau candidat à sa propre succession. Un but de Christian Fassnacht a suffi aux Bernois pour battre Saint-Gall, qui n'a plus gagné une rencontre de championnat dans la capitale depuis... le 20 mars 2005 (36 matches).
 Avec 46 points, YB revient à la hauteur du FC Bâle, deuxième, qui se rend à Winterthour dimanche, et à deux longueurs du leader, le Servette FC. Les Grenat défient Lugano samedi soir au Tessin (20h30).

Les Sédunois voient le top 6 s'éloigner

43 points d'&eacute;cart contre les Starwings, 39 face &agrave; Monthey, 44 contre Lugano et finalement, ce samedi 46 face &agrave; Union Neuch&acirc;tel: pr&egrave;s de 40 points de diff&eacute;rence, c'est le tarif moyen inflig&eacute; ces derniers temps par Fribourg Olympic! Les hommes de Thibaut Petit n'auront pas &eacute;t&eacute; inqui&eacute;t&eacute;s un instant par Union Neuch&acirc;tel ce samedi du c&ocirc;t&eacute; de St-L&eacute;onard. Dans une salle bien garnie, les Fribourgeois ont accord&eacute; 4 minutes d'espoir en d&eacute;but de match aux Neuch&acirc;telois avant de prendre les commandes pour ne jamais plus les l&acirc;cher. Une nouvelle victoire sans trembler de plus de 40 pions. Les Fribourgeois ont su rester concentr&eacute;s de la premi&egrave;re &agrave; la derni&egrave;re minutes, malgr&eacute; une avance d&eacute;j&agrave; tr&egrave;s confortable &agrave; la mi-temps. Un s&eacute;rieux &agrave; souligner, car en face, Neuch&acirc;tel ne s'est pas rendu &agrave; St-L&eacute;onard dans les meilleures conditions. Les Unionistes partaient m&ecirc;me avec d'&eacute;normes d&eacute;savantages.
<h2>Neuch&acirc;tel, un club en crise</h2>
Concernant l'aspect sportif tout d'abord, Neuch&acirc;tel n'&eacute;tait pas dans de bonnes conditions &agrave; l'entame de la rencontre: 4 d&eacute;faites de suite avant d'affronter Fribourg, un joueur &eacute;tranger en la personne de Matthew Dentlinger, absent et des cadres bless&eacute;s ou m&eacute;nag&eacute;s comme Dylan Ducommun, Eliott K&uuml;bler ou encore Kevin Martina. Bref, Union a align&eacute; une &eacute;quipe que l'on pourrait qualifier de "B".
Mais la crise touchant Neuch&acirc;tel ne concerne pas r&eacute;ellement le sportif. C'est tout le club en r&eacute;alit&eacute; qui est menac&eacute;. Ce vendredi, Union Neuch&acirc;tel a tir&eacute; la sonnette d'alarme; le club est au bord de la faillite! Si bien que la possibilit&eacute; de retirer la premi&egrave;re &eacute;quipe du championnat est envisag&eacute;e. Une situation financi&egrave;re plus que compliqu&eacute;e d&ucirc; notamment &agrave; un sponsor qui, finalement, a d&eacute;cid&eacute; de ne pas honorer ses engagements, nous a expliqu&eacute; un membre du comit&eacute;. De plus, un autre sponsor ne paiera finalement pas tout ce qu'il avait promis. Le club a donc d&eacute;cid&eacute; d'appeler au secours. Un appel aux dons et au sponsoring a &eacute;t&eacute; lanc&eacute; vendredi. "Contrairement &agrave; d'autres &eacute;quipes, nous ne recevons absolument aucune aide de la part de la ville et du canton", d&eacute;plore ce m&ecirc;me membre du comit&eacute;. Un appel aux dons qui se veut &eacute;galement &ecirc;tre un cri d'alerte &agrave; l'attention des autorit&eacute;s.
<h2>Mention sp&eacute;ciale au Tessin</h2>
Les probl&egrave;mes financiers et administratifs de Neuch&acirc;tel mis de c&ocirc;t&eacute;, la r&eacute;alit&eacute; du terrain n'a donc pas &eacute;t&eacute; tendre non plus avec Union. Et deux hommes peuvent se targuer d'avoir martyris&eacute; les Neuch&acirc;telois &agrave; longue distance: Roberto Kovac et Massimiliano Dell'Acqua. Leurs professions ? Shooters, et &ccedil;a s'est vu avec une adresse insolente de la part des deux tessinois. Le plus exp&eacute;riment&eacute; des deux a termin&eacute; avec 19 points &agrave; 5/10 &agrave; trois points tandis que Dell'Acqua s'est offert un joli 5/9 derri&egrave;re l'arceau pour terminer &agrave; 18 points.
<a href="https://fibalivestats.dcd.shared.geniussports.com/u/SUI/2628892/">Stats du match</a>
Un match complet, gagnant dans tous les secteurs du jeu, mais qui &agrave; nouveau est un peu frustrant de part l'adversit&eacute; propos&eacute;e par l'adversaire. Difficile de tirer beaucoup d'enseignements apr&egrave;s une nouvelle tr&egrave;s large victoire. N&eacute;anmoins, la f&ecirc;te a &eacute;t&eacute; belle et le coach Thibaut Petit avait le sourire en fin de rencontre.<iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2025/03/1228730/uAHCR7vdx5XHDiYImvUwaO1E5h0E998MHQcsLZAJ.mp3&amp;audio_title=Thibaut Petit&amp;audio_date=30.03.2025" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe>&nbsp;
Prochain match pour Olympic, ce sera mercredi du c&ocirc;t&eacute; de Nyon.
<a href="https://swiss.basketball/national-competitions/sbl/men/ranking">Classement de SBL</a>

Nouvelle semaine, nouvelle démonstration d'Olympic

Entrée en jeu un peu plus tôt, la numéro 9 du FCZ a exploité une délicieuse passe en profondeur de Martina Cavar pour battre la gardienne bâloise Anna Klink d'un ballon piqué. Ce but est venu récompenser le coaching de l'entraîneur zurichois Renato Gligoroski, dans la mesure où Cavar avait elle aussi commencé le match sur le banc.
 Avec ce seizième trophée, le FC Zurich dépasse Young Boys, qui a remporté quinze fois la Coupe de Suisse entre 1978 et 2001 sous le nom du FC Berne. A noter que le match s'est tenu devant 8664 spectateurs - dont la sélectionneuse de l'équipe de Suisse Pia Sundhage -, un record pour une finale de Coupe de Suisse féminine.

Un but suffit au FCZ face à Bâle

Le meilleur d'entre eux, Pat Burgener, s'est class&eacute; au 7e rang. Les titres sont revenus &agrave; Scotty James et &agrave; Chloe Kim.
Seul espoir de m&eacute;daille helv&eacute;tique en l'absence de Jan Scherrer et Iouri Podladtchikov (bless&eacute;s), Pat Burgener s'est arrach&eacute; sur son second passage pour obtenir 75,75 points. Un total largement insuffisant pour aller chercher une troisi&egrave;me m&eacute;daille mondiale apr&egrave;s les deux de bronze conquises en 2017 et en 2019.
Le Vaudois de 30 ans, qui a exprim&eacute; son envie de repr&eacute;senter le Br&eacute;sil lors des JO 2026, &eacute;choue &agrave; plus de 15 points du podium. Ses jeunes compatriotes Mischa Z&uuml;rcher (17 ans) et Gian Andrin Biele (21 ans), respectivement 11e et 14e, ont quant &agrave; eux souffert dans des conditions difficiles en raison du vent et de chutes de neige.
Des conditions qui n'ont toutefois pas emp&ecirc;ch&eacute; les favoris de sortir le grand jeu samedi apr&egrave;s-midi. L'Australien Scotty James a cueilli son quatri&egrave;me titre mondial (apr&egrave;s 2015, 2017 et 2019) gr&acirc;ce aux 95,00 points que son second "run" lui a rapport&eacute;s. Les Japonais Ruka Hirano (92,25) et Yuto Totsuka (92,00) compl&egrave;tent le podium.
<h2>Un 3e titre pour Kim</h2>
Chez les dames, la grande favorite Chloe Kim a domin&eacute; les d&eacute;bats en finale en d&eacute;but d'apr&egrave;s-midi. La double championne olympique en titre de la discipline a obtenu 93,50 points sur son premier "run" pour mettre tout le monde d'accord et s'offrir son troisi&egrave;me or mondial apr&egrave;s ceux de 2019 et 2021.
L'Am&eacute;ricaine de 24 ans a devanc&eacute; quant &agrave; elle quatre Japonaises, Sara Shimizu (90,75 points) et Mitsuki Ono (88,50) se parant respectivement d'argent et de bronze. Seule Suissesse pr&eacute;sente parmi les 12 meilleures, Isabelle L&ouml;tscher a pris la 10e place.

Pas d'exploit suisse

Bless&eacute;, l'attaquant ne disputera pas le championnat du monde du 9 au 25 mai au Danemark et en Su&egrave;de.
Comme le rapporte la RSI, Th&uuml;rkauf a subi une fracture d'un doigt lors du play-out gagn&eacute; face &agrave; Ajoie. "Il est impossible de penser &agrave; une participation au championnat du monde", a-t-il d&eacute;clar&eacute; lors d'un &eacute;v&eacute;nement de fin de saison organis&eacute; pour les fans luganais.

Un premier forfait en équipe de Suisse

La double championne du monde de St-Moritz a validé son sacre en terminant 3e de l'avant-dernière course de cette Coupe du monde 2024/25 samedi à Idre Fjäll.
 Fanny Smith (32 ans) conclut donc de la plus belle des manières une saison de rêve avec ce quatrième triomphe au classement de la discipline après ceux de 2013, 2019 et 2021. L'absence de sa plus proche poursuivante India Sherret, forfait pour ce week-end final après s'être blessée aux Mondiaux, a simplifié sa tâche.
 Longtemps 4e de la finale, Fanny Smith a arraché dans les derniers mètres la 3e place, derrière l'Allemande Daniela Maier (1re) et la canadienne Courtney Hoffos (2e). Elle a ainsi cueilli son 10e podium de l'hiver, sur les 16 épreuves disputées sur le front de la Coupe du monde.
 Deux autres Suissesses étaient en lice au stade des demi-finales samedi en Suède, où elles ont cependant échoué. La jeune Anna Dietrich (22 ans) a conclu sa journée en beauté en s'adjugeant la petite finale pour signer son meilleur résultat à ce niveau (5e), Talina Gantenbein se classant 8e.
 Pas de podium suisse en revanche chez les messieurs, où le Canadien Reece Howden s'est imposé pour prendre la tête de la Coupe du monde. Le double champion du monde Ryan Regez (7e au final) a dû se contenter de la petite finale, tout comme Tobias Baur (6e). Le Vaudois Roman Détraz a quant à lui chuté en 8e de finale.

Un 4e globe pour Fanny Smith

Jakub Mensik, 54e joueur mondial, atteint sa deuxième finale sur le circuit ATP seulement, la première dans un tournoi de ce niveau. Il livrera un choc des générations dimanche contre le Serbe âgé de 37 ans aux 24 victoires en Grand Chelem.
 Malgré son inexpérience, le Tchèque a montré des nerfs d'acier pour dominer le 4e joueur mondial sans lui voler une seule fois son service. La rencontre de 2h30 a opposé deux très bons serveurs, Fritz signant le seul break en début de deuxième manche.
 En finale, la pression sera évidemment sur les épaules de Novak Djokovic qui est en quête d'un 100e titre sur le circuit principal. Le Serbe, dont le dernier sacre remonte aux JO de Paris l'été dernier, a remporté l'unique duel livré face à Jakub Mensik. Mais c'était en trois sets accrochés, l'automne dernier à Shanghai.

Miami: Menik rejoint Djokovic en finale

La Bâloise a néanmoins terminé au 12e rang pour assurer un deuxième ticket à la Suisse pour les JO 2026. Sortie de sa retraite en début de saison, l'Américaine Alysa Liu a quant à elle cueilli l'or vendredi soir.
 Huitième des championnats du monde 2023 et 5e l'an dernier, Kimmy Repond (18 ans) a manqué son affaire dans le TD Garden de Boston. La médaillée de bronze des Européens 2023 n'a pris que la 15e place du libre, au rythme de la musique du film Gladiateur, avec 115,91 points (183,33 au total). Deuxième Suissesse en lice dans ce libre, Livia Kaiser s'est classée au 23e rang.
 Kimmy Repond, dont le record personnel sur un libre est de 133,38 points, pointait à la 10e place après le court. La Bâloise est la troisième meilleure Européenne derrière la Belge Nina Pinzarrone (7e) et l'Estonienne Niina Petrokina (8e), ce qui ne la consolera guère après sa 4e place obtenue aux Européens de Tallinn fin janvier.
 "Je suis un peu déçue, bien sûr, à cause de mes erreurs du début", a déclaré Repond, qui a chuté sur ses deux premiers sauts. "Cela m'a un peu déconcentrée. Mais je suis très fière d'avoir continué à me battre. Je suis soulagée d'être en 12e position et d'avoir obtenu les deux places (pour la Suisse) pour les Jeux olympiques" de 2026.
 <h2>Liu sacrée à 19 ans</h2>
 Alysa Liu, 19 ans, a quant à elle été sacrée championne du monde en devançant la triple tenante du titre Kaori Sakamoto. En tête après le court, l'Américaine, scintillante dans sa tunique dorée, a signé un programme libre éblouissant pour s'emparer du titre avec un score cumulé de 222,97 points.
 Liu avait pourtant pris sa retraite en 2022, à 16 ans seulement, quelques mois après avoir pris la 7e place des JO de Pékin. Mais le patinage lui manquait trop et elle a finalement décidé de rechausser les patins en début de saison. Son meilleur résultat aux Mondiaux jusqu'ici avait été la médaille de bronze en 2022.
 A moins d'un an des Jeux olympiques de Milan et Cortina d'Ampezzo, Alysa Liu a devancé la Japonaise Kaori Sakamoto (217,98 points), victorieuse des trois derniers Mondiaux et qui a produit un programme libre de haute volée, et une autre Japonaise, Mone Chiba (215,24 points). Elle a ainsi offert aux Etats-Unis un premier titre mondial chez les femmes depuis 2006.

Mondiaux: Repond 12e, Liu titrée

Lausanne - Fribourg-Gottéron : le direct

Le Vaudois s&#8217;est incliné 6-3 6-4 en quart de finale devant la tête de série no 1 du tableau, l&#8217;Italien d&#8217;origine argentine Luciano Darderi (ATP 61). Il n&#8217;a pas à rougir de cette défaite consommée après 1h19' d&#8217;une rencontre de qualité. Comme la veille face à Borna Coric, Stan Wawrinka a évolué à un niveau qui doit lui permettre de tirer vraiment son épingle du jeu lors de cette saison sur terre battue.
 Elle se poursuivra la semaine prochaine à l&#8217;ATP 250 de Bucarest. Au bénéfice d&#8217;une wild card, Stan Wawrinka a vraiment les moyens de tracer sa route en Roumanie. Malgré son âge désormais canonique, il peut croire que les beaux jours vont revenir.

Challenger de Naples: Stan Wawrinka battu

Outre Krupp, qui avait succ&eacute;d&eacute; &agrave; la bande &agrave; mi-janvier &agrave; Luca Gianinazzi, les joueurs suivants quitteront les bianconeri: le gardien Adam Huska, le d&eacute;fenseur Valtteri Pulli et les attaquants Mark Arcobello, Daniel Carr, Radim Zohorna et Aleksi Peltonen.
La collaboration avec Antti T&ouml;rm&auml;nen, qui officiait comme conseiller technique, va aussi prendre fin. Lugano a connu une saison tr&egrave;s d&eacute;cevante, le club ayant d&ucirc; sauver sa place en National League via un play-out gagn&eacute; contre Ajoie.

Nombreux départs au HC Lugano

Sous la pluie, Van der Poel est parti seul dans l'ascension du Vieux Quaremont, à 39 km de l'arrivée. Ses rivaux ne l'ont jamais revu ensuite puisque Pedersen a franchi la ligne à 1'07 et Ganna à 2'05. Le Néerlandais a ainsi fêté un nouveau très beau succès, moins d'une semaine après son triomphe dans Milan - San Remo.
 Le Suisse Stefan Küng, toujours à l'aise dans ce genre de classiques sur les pavés, a pris une encourageante 6e place à 2'34. Le Thurgovien espère s'illustrer lors des grands rendez-vous que seront le Tour des Flandres (6 avril) et Paris - Roubaix (13 avril).